Vous avez un projet ?

Le SDDC, une réalité avec VMware

Publié le 3 juin 2018
scroll
N’oubliez pas
de partager
cet article

Portées par les services IT qui connaissent une large adoption d’une part, et par les enjeux des DSI qui sont en quête perpétuelle de réduction des coûts et de la complexité, tout en améliorant la gestion du cycle de vie de l’infrastructure, d’autre part, les infrastructures n’ont cessé de se moderniser.

Dans cet esprit, plusieurs innovations et pratiques ont émergé dernièrement, et de nos jours la tendance est au Software-Defined. La virtualisation de serveurs avait lancé la tendance, aujourd’hui ce sont tous les silos du Data Center qui sont concernés.

Software-Defined Data Center, comment en est-on arrivé là ?

Après la virtualisation des serveurs et les avantages qu’elle a apportés, ça aurait été dommage d’en rester là. La réflexion a été donc poussée plus loin. Est-il possible de faire de même avec les autres silos de l’infrastructure ? Si c’est le cas, jusqu’où est-il possible d’aller ? En plus de la virtualisation, peut-on ajouter une couche d’automatisation / orchestration ? La perspective d’un IT as-a-service a commencé à prendre forme et les notions de cloud computing et software-defined sont devenues une évidence.

Mais quel est l’intérêt de faire tout ça ? La réponse est claire : les avantages valent largement le coût !

  • Une baisse des coûts en terme CAPEX et d’OPEX
  • Un déploiement de charges applicatives, aussi complexes soient-elles, de manière rapide et automatisée
  • Une réduction des tâches manuelles pour, en contrepartie, libérer du temps pour l’innovation

Tout cela apporte de l’agilité et de la flexibilité, deux notions essentielles aux processus métiers des entreprises.

“ Les notions de cloud computing et software-defined sont devenues une évidence.”

Les serveurs, c’est fait ! virtualisons le reste et à nous le SDDC…

Pas tout à fait, nous y reviendrons mais d’abord, pourquoi ce nom SDDC ?

  • Software-Defined : il est défini logiciellement avec une forte abstraction du matériel.
  • Data Center : il s’applique à toutes les briques du data center (serveur, réseau & sécurité et stockage).

En fonction de ces briques, les acteurs varient : VMware, Cisco, Nutanix et Red Hat pour les serveurs ; VMware, Cisco, Juniper et HP pour le réseau et la sécurité (SDN) ou encore EMC, Nutanix, VMware, et HP pour le stockage (SDS).

Source VMware

Le SDDC est donc l’assemblage de toutes les briques ci-dessus mais pas uniquement ! Sans l’outillage adéquat autour d’elles, la flexibilité et l’agilité attendues de ce concept ne seront pas au rendez-vous.

Disons que « virtualiser » c’est bien mais « automatiser » c’est mieux. Il faut garder en tête que l’objectif majeur est d’accélérer le déploiement du socle d’infrastructure et de minimiser les tâches manuelles. Cela est devenu possible grâce aux outils d’orchestrations qui permettent d’organiser logiquement toutes ces technologies.

“Virtualiser c’est bien, mais automatiser c’est mieux !”

Précurseur un jour, précurseur toujours… ?

En se fondant sur les éléments cités précédemment, il est facile de comprendre l’avantage de VMware par rapport aux autres acteurs. D’abord, il est l’un des rares à couvrir tous les silos :

  • Les serveurs avec vSphere qui est devenu un standard
  • Le réseau et la sécurité avec NSX
  • Le stockage avec vSAN

Ensuite, VMware étoffe ces technologies avec les outils nécessaires pour les orchestrer de manière transverse avec le vRealize Orchestrator (vRO) et le portail vRealize Automation (vRA).

Source VMware

Beaucoup de changement à la clé, et le changement fait souvent peur !

C’est un constat ! Les DSI ont souvent peur des grands changements. Ils ont des organisations, méthodes et outils en place et évitent de trop bousculer leurs habitudes.

Mais justement, des technologies comme le SDDC révolutionnent l’infrastructure sur différents aspects. Prenons un exemple : le fait de virtualiser apporte certes beaucoup mais il complexifie l’infrastructure, donne l’impression aux administrateurs de perdre en visibilité et en maîtrise et voire d’impacter les effectifs.

Ce qui peut aider à mitiger cette peur ce sont les outils qui viennent compléter la couche d’orchestration et d’automatisation ; des outils qui permettent d’avoir plus de visibilité et de maîtrise de son infrastructure en termes de gestion de capacité, de coûts, de performances, de comportements des éléments aussi bien virtuels que physiques.

C’est justement ce genre d’outils qu’offre VMware avec vRealize Operations Manager, vRealize Log insight et vRealize Business, qui viennent compléter le SDDC et faciliter ainsi sa gestion.

“Des technologies comme le SDDC révolutionnent l’infrastructure sur différents aspects.”

A ce rythme d’innovation, quelles seraient les prochaines tendances ?

Avec les perspectives qu’ont ouvert le SDDC et la virtualisation en général, voici deux des concepts forts du moment :

  • D’un côté, comme tout est virtuel, pourquoi ne pas automatiser le déploiement du socle d’infrastructure ? VMware a introduit ce concept avec VMware Cloud Foundation.
  • D’un autre côté, conformément aux pratiques DevOps, il serait intéressant de rapprocher la gestion de l’infrastructure et celle des applications. C’est possible avec vRealize Code Stream qui permet de gérer et d’automatiser le cycle de vie des applications et de leur code.